100 heures avec Fidel, le dernier livre d’Ignacio Ramonet, pas mal critiqué sur les blogs hispanophones pour ressembler parfois plus à un copier-coller de discours du comandante qu’à un livre d’entretiens inédits, sort cette semaine dans son édition cubaine.
Les médias cubains en parlent beaucoup et Granma notamment, avec ce talent particulier pour les métaphores inattendues : « Fidel es un océano y Ramonet una especie de expedicionario que intenta bucear y navegar la inmensidad » (Fidel est un océan, et Ramonet une sorte d’explorateur qui tente de plonger et de naviguer dans l’immensité).
18 mai 2006
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1 commentaire:
Bonjour de Paris... J'ai cru lire quelque chose de proprement halucinant... Hier Fidel qui approche de ses 80 ans a semble-t-il terminé un discours non par le fameux Patria o muerte... mais par Patria y VIDA !!!
Est-ce exact ???
Ce serait proprement merveilleux..ce nouveau cap pour une ile dans l'immensité...
Carinos de Una
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